mercredi 10 mars 2010

Scène 12 - Alice aux pays des merveilles

Bande-son : I feel cream - Peaches

" J’ distinguais son sourire que par intermittence, entre les flashs des lumières dans la boite. Après quatre shots cul sec, la bête s’était emparée, et j’avais les nerfs en p’lotes, les dents pointues et bien huilées. Pour une fois la poulette ne détournait pas les yeux, au contraire. Elle minaudait, se dodelinait devant moi comme un mauvais clip de rap. Elle s’est approchée, puis glissant lentement, elle m’a provoquée avec son cul bien ouvert. « Petite », j’me suis dit, « t’as frappé à la bonne porte, j’suis pas d’humeur pour les conversations. » Je l’ai attrapée par la taille, un peu cliché à la Patrick Swayze, et j’ai plongé ma langue, la pressant plus fort que je n’aurais du. J’avais presque une giclée dans l'slip. Mais j’ai contrôlé, j’ai repris les choses à froid. Fallait pas gâcher un moment pareil. Une meuf qui s’offusque pas, qui te baratine pas de jérémiades sur son ex et le savoir-être et patati et patata. Moi je savais baiser, point barre. J’ai gratté ma nuque en guise d’ennui, elle a planté ses poings de chaque côté de sa taille, jouant la gamine qui comprend pas. On aurait dit Alice aux pays des merveilles, avec en décors, la ch'nille et l'matou q'auraient trop fumé dans la boite, avec toutes ces lumières roses et bleus. Quoiqu’elle avait plutôt l’air d’une blanche neige. Enfin, je m’entends bien sur la version. Elle a bien vu que je commençais à m’encanailler, et qu’il me fallait du lourd et rapidement, elle m’a emmenée dans la salle, l’encoignure pas loin des toilettes, et j’ai pas mâché mon plaisir, directement sur les seins, j’ai peloté trois secondes, et j’ai retiré le t-shirt, ou ce qui y ressemblait. J’ai bouffé son sein, putain j’avais faim. La dalle. J’ai cru que j’allais l’arracher, mais fallait pas abîmer l'bébé, hein, ça aurait été dommage, un peu trop sanglant. J’avais envie de smooth, de babines à même le derme. Cette douceur du sein, cette douceur. Un truc affolant. Je me suis rappelé de justesse qu’elle en avait deux, des seins. J’me suis occupée de l’autre. De manière plus distinguée, puis après je me suis dit qu’il allait être jaloux de pas trouver tant d’ardeur, alors j’ai recommencé mon carnage, j’y ai mis du mien, j’étais comme un clebs content de son os. Enfin, là c’était plus frais quand même. Elle m’a rappelé à son bon souvenir qu’elle avait aussi une bouche délicieuse dont je pouvais abuser à ma guise. J’ai bu une gorgée de mon whisky coke, puis j’ai déversé le tout généreusement dans sa bouche, en faisant bien attention que ça déborde, qu’elle en ait jusqu’aux oreilles, et là j’ai léché sa joue comme un loup attiré par le sang, j’ai grignoté centimètre par centimètre, jouant le jeu timide de l’animal, jusqu’à choper le lobe, lécher tout le pavillon. Elle avait une trace dégueu et collante sur toute la joue, elle avait l’air fin. J’ai eu pitié, j’ai tout léché à nouveau en prenant soin d’effacer mes traces. J’suis pas dégueu à ce point quand même pour ridiculiser mon repas. Elle a fait un pas vers moi pour m’attraper, je l’ai repoussée plus brutalement que voulu contre le mur. Je lui ai fait comprendre l’intention de la chose en baissant derechef son jean. Et je me suis attaquée à la petite fourrure. Hein… c’était tout ce que je préfère, ce petit gazon, j’ai fourré mon nez, j’ai respiré bien fort, et je me suis râpée la joue contre les poils drus. A un moment j’ai levé les yeux juste pour checker si je paraissais pas trop tarée à la demoiselle et qu’elle allait pas me fausser compagnie, mais elle avait l’air de trouver un certain intérêt à me voir dans cette position. J’ai donc foncé au but, j’en ai même souri, quand elle s’est à moitié repliée sur elle-même dans un sursaut. Puis elle s’est détendue, enfin je l’ai détendue la fille, tu penses bien. Quelques coups de langues bien placés et ça en redemande. Sa chatte avait un goût drôlement sucré, j’avais l’impression de sucer une gourmandise, et je suis allée chercher plus loin par curiosité, puis j’ai continué parce qu’elle avait l’air d’apprécier. J’avais soif, j’ai arrêté en plein milieu, j’ai bu à nouveau dans mon whisky coke, puis je l’ai regardé plus attentivement d’en bas. Chais pas si c’était l’alcool ou quoi, mais d’un coup elle m’ait apparu si jolie, je me suis demandée si je passais pas à côté d’un truc. D’un coup j’me suis dit, « t’es con, tu passes à côté d’aucun truc, t’es dessus.». Alors la meuf j'me la suis cognée jusqu'à la fait jouir putain, j’te jure, je l’ai fait jouir comme jamais elle pensait qu’elle allait v'nir. "

Aucun commentaire: