lundi 28 décembre 2009

Scène 7 - Pour entretenir la forme

Je m’étais levé assez tard, vers midi, pour récupérer de mes fornications. La veille ma coloc avait ramené un inconnu, et je les avais surpris en plein milieu du salon alors que je rentrais de soirée. Le type n’avait pas bronché quand je les avais rejoins. Je lui avais fait une belle pipe de bienvenue et d’adieu. J’en étais ressorti avec une envie à crever le slip. Et ce matin, pas moyen de me calmer. J’avais le choix, soit d’aller au sauna, soit d’aller faire un jogging… J’avais choisi le bois de Vincennes. L’air était doux pour avoir la bite à l’air.

Je suis arrivé, j’ai couru mon petit tour pour mouiller le t-shirt ce qu’il faut. J’ai choisi alentour parmi les beaux gosses en train de s’étirer les mollets. J’en ai repéré un, plutôt l’air sérieux avec sa mâchoire serré sous son sweat-shirt à capuche gris. Il m’a emmené dans son quartier d’été, un plaid derrière un bosquet, à l’abri des passants, mais pas forcément des voyeurs.

Tout deux à genoux, nous avions retirés nos t-shirts, et nous embrassions à pleine bouche, comme deux lutteurs affamés. Sa langue affrontait la mienne, puis pliait mollement en cercle, et je retournais la chercher savamment et massivement à mon tour. Sa poitrine dense en muscles entrainés, était lisse et chaude comme de l’étain. Je ne me lassais pas de passer la main sur ce poitrail qu’il se plaisait à bomber quand j’arrivais sur la pointe de ses tétons. Après quelques caresses sous son slip, son cul sec m’appela sans détour. Je défis ce qu’il restait à défaire, puis j’aventurai mes doigts dans la raie, en faisant rouler les poils drus sur sa peau fine, en adorant cette sensation rêche sous la pulpe. Toujours au stade de notre empoignade, j’ajoutai aux caresses de son cul d’hercule, de délicates attentions à sa queue, qui ne tarda pas à me demander un intérêt plus important. Je l’attrapai et commençai mon pistonnage régulier et franc. Sa bite remplissait bien ma main, et j’allais et venais sur une longueur qui convenait à la manière dont je comptais en abuser.
Sa main sur mon crâne m’invita à le prendre à pleine bouche. Il s’assit jambes éparses, j’arrivai sur son membre à grands coups de langues de la base vers le gland. Et, quand l’affaire fut bien à moi, je l’absorbai entièrement jusqu’aux couilles pour lentement revenir à l’extrémité de sa queue. Je refis ce manège une fois, puis deux, et enchainai sur un pompage généreux et bien huilé, tenant l’entreprise par une main que je glissai peu à peu dans la mécanique. J’allais et venais comme à l’usine, attrapant parfois le paquet de ses couilles, interposant parfois entre ses bourses un doigt qui lissait sa membrane frêle et chétive. J’entourai son gland de ma langue, jaugeant ses replis nets, titillant l’ouverture de son urètre, et je revenais langue et main sur son membre. Je devinai sa poitrine se soulever, le bord de ses lèvres frémir, presque sourire. Il me regardait le travailler et trouvait son plaisir dans la scène.
Quelques instants plus tard, il n’était plus si en contrôle, et c’est tendu sur ses jambes, son cul levé pour mieux s’offrir à ma bouche, que finalement il m’arrêta. Il me repoussa sans agressivité, me demandant de me retourner, et m’empala dans un grognement satisfait. Je l’accompagnais d’un aveu sourd. Sa queue me soulageait, et je me laissais mener par ses assauts dans une délivrance totale. Tandis que les chocs l’un après l’autre montaient toujours plus hauts entre mes reins, ma queue commença à brûler l’enfer. Mes couilles hurlaient leur envie sous les coups des lourds balancements dans l’air. Une brise passa sur mon gland, aussi insupportable qu’un désir inassouvi depuis 2 jours. Je ne tins plus, et attrapai ma queue pour l’astiquer brutalement. Malmené par l’enclume qui m’enfilait au cul, et ma suave et poisseuse frénésie, je me déchargeai sur la couverture au même moment que lui en moi. Quel délice que cette souillure là. J’étalais la mienne sur mon sexe, et m’effondrai, à demi recroquevillé, le cul encore occupé. Il se dégagea trop vite à mon goût. Puis se leva, en s’essuyant le corps d’une serviette caché sous la couverture. Il se rhabillait déjà, m’invitant à en faire de même. Ce que je fis, un peu en râlant. Nous n’étions pas non plus à deux minutes près…

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